Troisième et dernière partie du compte-rendu. Le début, c'est par là.
C'est bien crevés que nous attaquons la dernière journée. Programme un peu moins chargé que samedi, mais pleins de choses sympathiques à voir quand même. Allez zou.
Troisième et dernière partie du compte-rendu. Le début, c'est par là.
C'est bien crevés que nous attaquons la dernière journée. Programme un peu moins chargé que samedi, mais pleins de choses sympathiques à voir quand même. Allez zou.
La suite de mes aventures au festival des Vieilles Charrues, qui commence ici. Ce billet est un poil plus balèze que le premier, alors bon courage...
Samedi s'annonçait comme la plus grosse journée du festival. Que des choses biens qui s'enchaînent, pas de pause possible. Au programme : Yelle, Camille, Duffy, Étienne Daho, Dub Inc, Gad Elmaleh, Zebramix, Matmatah et Gossip, ouf.
De retour des Vieilles Charrues, un petit compte-rendu s'impose... Avec une semaine de retard, certes, mais bon, on fait ce qu'on peut. D'ailleurs, ceci ne sera qu'un bout du billet complet, puisque d'une part, quand c'est trop long, c'est indigeste, et d'autre part, j'ai pas fini de l'écrire.
On n'a malheureusement pas pu assister aux concerts du jeudi, puisqu'on avait choisi le forfait 3 jours. Bon, on n'a pas raté grand chose (BB Brunes, Motörhead, Ben Harper, et les Babyshambles), je regrette seulement que ne pas avoir été là pour insulter Pete Doherty, comme c'est d'usage.
Nous sommes dimanche soir, et comme d'hab (ou presque), je suis sur le quai, voie D, à Châteaucreux. Il doit être genre 19H50, il fait très chaud, et évidemment je suis en avance. Je dis "évidemment" parce que c'est un truc qui m'arrive rarement, donc forcément quand ça m'arrive, il faut que ce soit insupportable (jean épais, t-shirt noir et beaucoup trop de cheveux). Assis sur un banc, mon sac de 10 kilos posé par terre, j'en suis à optimiser tous mes mouvements pour transpirer le moins possible. C'est à cet instant qu'arrive la nana trop classe...