The Legend is back

The Legend of Zelda : Spirit Tracks sort demain (11 décembre), mais alors, WTF ? Se pourrait-il que, par un astucieux copinage, il se trouve dès ce midi entre mes doigts boudinés athlétiques. Oui oui, la dernière aventure de l'ami Link, 12 heures avant tout le monde, dans MA DS (wah, paye ton exclu) !

Après avoir geeké à mort sur Phantom Hourglass, j'attendais forcément la suite avec grande impatience. Et comme si le simple fait de la sortir (cette suite) ne suffisait pas à nous rendre fébriles, fallait-il que Nintendo, dans sa grande bonté, offre (ça veut dire que c'est gratos *_*) deux figurines pour la pré-commande du jeu... Donc là, évidemment : gadgets inutiles = gadgets indispensables = pré-commande immédiate et sans détour. Aujourd'hui, 11H38 AM, coup de fil de mon revendeur, la boîboîte tant attendue est arrivée. Même pas besoin d'attendre demain (jour de la sortie officielle) je peux l'avoir dans l'heure, hourra !

The Legend of Zelda : Spirit Tracks avec ses figurines

Bon bon bon, au delà de l'assemblage des figurines (:D), voyons où nous emmène cette nouvelle aventure. Attention, spoiler inside...

L'histoire se déroule une centaine d'années après les événements de PH. Années qui virent prospérer le tout jeune royaume d'Hyrule. Ha HA ! Première révélation : dans PH, on ne jouait pas vraiment Link, et Tetra n'était décidément pas la princesse Zelda. On fait donc la connaissance de leurs petits petits fillots qui, cette fois, sont bien LE Link et LA Zelda, ouf. Notre ami Link, alors jeune cheminot, se trouve (plus ou moins malgré lui) être le témoin du putch mené par le diabolique premier ministre d'Hyrule, et du kidnapping du corps (oui oui, juste son corps) de la princesse Zelda... Sentant naître en lui l'âme d'un héros, et encouragé par le fantôme de la princesse, il se lance alors dans la périlleuse entreprise de défaire les sombres desseins des méchants ! (Sympa pour un cheminot, il aurait pu se mettre en grève (naaaha))

Le gameplay reste sensiblement identique à PH (le coup d'épée circulaire, miam), apportant néanmoins quelques simplifications. Le concept du véhicule demeure également : après le bateau dans PH, c'est en train que nous parcourons le royaume. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ces voyages sont loin d'être pépères. En effet, il faut gérer sa vitesse, faire basculer les aiguillages, tchoutchouter pour faire dégager les vaches qui se baladent sur la voie, tout en évitant le trafic ferroviaire régulier. Bref, la première sortie s'avère assez éprouvante... Enfin, on notera que les menus de jeu sont beaucoup plus travaillés que ceux de PH, et bien plus agréables à parcourir.

Au final, ce jeu semble parti pour m'occuper un bon moment. Hourra !

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